Patrouille rurale

Patrouille rurale

mercredi 23 février 2011

Guerrière du jour

Troisième jour de la formation premier degré de tonfa ce matin.
Et cette image d’une élève qui s’est découvert des vertus de guerrière :-)

mardi 22 février 2011

Duo de Clémence

Patrouilles équestres au programme de la matinée de ce mardi. Les deux Clémence de la promotion 18 sont donc parties en patrouilles à Cuffies sur Peponne et Husky.
Et je les ai suivies ;-)







Regard du jour

Une petite photo de Lex ce matin au moment de sa préparation pour sa sortie en patrouille rurale

lundi 21 février 2011

Des bleus

Nouvelle formation de tonfa pour un groupe de 11 élèves, et ce durant trois jours. Après les bleus du matin, voici venu le temps des bleus de l’après-midi. Des cris et des grimaces aussi.







" Arrête ! Tu vas me pèter le bras ! "

Dernière ligne droite

Après une semaine de repos pour une majorité d’élèves, il ne reste maintenant plus que cinq semaines avant la fin de la formation, ou plutôt cinq semaines avant le départ en stages. Dans une froideur picarde relative, les deux tiers de la promotion est parti en patrouille rurale équestre ou en patrouille urbaine pédestre. Pour les autres, c’était le début des premiers bleus au tonfa.
Voici déjà quelques images des chevaux en campagne ce matin …







samedi 19 février 2011

Dans le bon sens !

Dans son dernier numéro, Mag’Sens, le magazine de la Ville de Sens annonce la naissance de la brigade équestre dans cette commune de l’Yonne. Une brigade qui démarre en mars prochain avec à sa tête une élève de l’école, une élève qui a réussi en 2009 le concours de gardien de police municipale et qui, après un stage de trois semaines à Chantilly, débute professionnellement de la plus belle façon qui soit : avec la responsabilité de créer, développer et gérer une brigade équestre.
Je ne manquerai pas de reparler de cette réussite puisque je me rends à Sens au début avril : un élève de la p18 y effectuera son stage de trois semaines. Un élève qui pourra même, s’il réussit son concours PM 2011, être intégré de façon définitive à cette brigade sénonaise. Une belle réussite pour l’Ecole des Gardes puisqu’une troisième élève, de la promotion 15 cette fois, a débuté à Sens il y a six mois. Une école aussi représentée par ses chevaux puisque Rash et Mozart sont les deux chevaux de l’école qui fouleront le tarmac local au printemps prochain.

Les deux anciennes élèves de l’école en patrouille sur leurs futures montes :



vendredi 18 février 2011

Royale !

Pré visite à l’Escorte Royale de la police fédérale belge aujourd’hui pour les deux élèves qui iront en avril y accomplir leurs trois semaines de stage obligatoire.
Depuis l’indépendance de la Belgique, le Roi est accompagné d’une escorte à cheval pendant ses déplacements officiels. Ses 128 chevaux et cavaliers en tenue d’apparat encadrent la famille royale et ses invités, notamment les chefs d'état étrangers, lors des cérémonies officielles.

L’accueil des deux futures stagiaires fut on ne peut plus royal ! Tout le personnel d’encadrement et administratif de la police fédérale à cheval (qui intégre l'Escorte Royale), soit près d’une quarantaine de personnes, a accueilli les deux élèves de l’école avec toujours des sourires et sans jamais être avares d’explications. Ce qui promet un stage plus que royal dans moins de cinq semaines !
Les deux élèves devraient participer aux répétitions des cavaliers de la police fédérale pour la sortie de l'Escorte des Ambassadeurs, soit 56 chevaux, qui évolueront dans les rues de Bruxelles le 16 avril prochain.




Les deux élèves ont visité la quasi totalité des installations, notamment les écuries. L'Escorte Royale dispose d'une fanfare. Le timbalier de l’Escorte Royale, qui précède 12 trompettes sur chevaux gris, dispose d’un cheval pie.




Quant aux écuries, elles sont forcément démesurées puisqu’il y a entre 170 et 180 chevaux pour qu’il puisse y avoir, quelques fois chaque année, 128 équidés à l’occasion de la sortie de la Grande Escorte.

jeudi 17 février 2011

Avant-goût prometteur

Dans les lieux de stage que je vais visiter en avril prochain, il y a la brigade équestre de la police municipale de la Grande Motte dans l'Hérault. Mardi, c’était l’occasion des premiers repérages pour les deux élèves retenues.
Un acceuil très chaleureux de la part des responsables de la police municipale, des équipements qui montrent un profond respect pour les chevaux, une commune plaisante et très propre, la promesse d’activités professionnelles variées, le sable, la mer et du soleil …
Finalement, ça valait la peine de passer quelques mois dans la froideur de Picardie pour venir passer trois semaines de stage dans le Sud !





mercredi 16 février 2011

500 (élèves 403 – équidés 82)

Avec les deux photos présentées dans le précédent billet, voilà donc 500 clichés postés sur ce blog depuis la rentrée de septembre 2010. Une tranche de vie qui sera, durant l’été, mise en page, imprimée et reliée à l’attention des élèves de la p18.
Cinq cent photos, cela fait donc beaucoup de fois les élèves en photo. J’en profite pour m’élever en faux contre une opinion que j’entends depuis la mi-octobre : « Ce sont toujours les mêmes en photo ! ». Eh bien, … pas franchement !
Il est vrai que les positions en classe, l’assiduité à faire travailler son cheval, la présence à l’école ou la facilité à se mettre en avant font que certains élèves se retrouvent plus facilement devant mon objectif.
Même si au demeurant ce blog n’a jamais eu pour vocation d’être un trombinoscope de l’école, ces 500 photos ce sont d’abord et surtout les 33 élèves de la promo en photo sur 403 photos ! Et les 106 portraits présentés sur ce blog ont été réalisés avec 30 élèves.
Donc conclusion, la remarque est … RE-FU-SEE ! :-)

L’image ci-dessous peut être téléchargée en grande résolution pour impression ici.

Sirènes

Quoi ? … un stage de trois semaines
Où ? … à la Police Municipale de La Grande Motte (Hérault)
Quand ? … du 28 mars au 15 avril 2011
Comment ? … à pied, à cheval, à vélo, en voiture et en bateau
Qui ? … deux élèves de la promotion 18

Résultat : deux petites sirènes enchantées !



Voir plus loin

Au loin, un avenir se dessine t’il ? A l’heure où j’écris, déjà sept élèves sont en passe de décrocher un poste en contrat à durée déterminée à la suite de leur stage. Et à cheval pour trois d'entre eux !
L’école ne promet pas d’emploi à l’issue de la formation. Elle se contente, si tant est que le vocable "se contente" puisse être le terme exact, de former au mieux les élèves de manière à ce qu’ils puissent s’insérer professionnellement le plus rapidement possible. Certains d’entre eux, par leur engagement, leur travail, ce qu'ils démontrent au cours de la formation, s’en sortent encore mieux et s’insérent dans la vie active dès la fin de leur présence à l’école.
Voilà de quoi encourager les élèves des futures promotions à toujours plus s'engager !



mardi 15 février 2011

Absence

Semaine d’absence à l’école. Six élèves sont de garde tandis que les élèves de la p19 continuent leurs enseignements. Comme pour la p18, c’est une semaine de vacances ou de recherche de stage, il n’y a, hormis ceux de garde, aucun autre élève de la promotion sur le site de l’école. Cela donne une école très calme.
J’en ai donc profité, lundi, pour regarder les chevaux.





lundi 14 février 2011

Stages

Aujourd’hui débute une semaine particulière à l’école, en partie vacances pour les uns, en partie studieuse pour les autres. En effet, les élèves qui n’ont pas encore trouvé où accomplir le stage obligatoire du cursus ont ces cinq jours pour en décrocher un. Ils sont environ une dizaine dans ce cas. Pour les autres, c’est l’occasion de rendre une première visite à leur maître de stage et de trouver le logement qu’ils utiliseront lors de leur séjour dans la commune choisie. Si certains ont en effet le logement associé aux trois semaines de stage, pour les autres, il leur faut trouver où loger.

Pour moi, c’est une semaine faite de déplacements puisque j’accompagne quelques élèves lors de ces visites de présentation : je passe du stage le plus méridional, La Grande Motte, au stage le plus septentrional, Bruxelles.
Quatre lieux de stage sont en effet, de ma part, l’objet d’une attention particulière parce que je dois réaliser un reportage pour un magazine équestre international, et je vais donc devoir passer de l’Orléanais à la Belgique, de la côte montpelliéraine à Versailles. Mais comme je l’avais fait en 2009 avec la p14, je compte visiter le plus grand nombre de stagiaires possibles, afin de pouvoir raconter ultérieurement tout le bénéfice de ces stages dans cette formation professionnelle. Trois semaines en mars qui vont donc être chargées en déplacements puisque je risque de me rendre en Normandie, dans l’Oise, en Hautes Pyrénées, dans l’Yonne et dans le Jura. Sans oublier qu’avant –dès aujourd’hui–, je dois négocier mes déplacements : on ne se présente pas comme ça dans les Polices Municipales de France ! Parfois l’obtention des autorisations est complexe puisque le Maire a son mot à dire, parfois c’est le Directeur général des services qui y va du sien, parfois l’Adjoint au Maire en charge de la sécurité, parfois aussi le Chargé de Communication, quand ce ne sont pas les quatre à la fois ! :-(
Souvent les négociations sont âpres, notamment avec les sociétés privées qui prennent des stagiaires où droit de photographier, droit à l’image et droit de regard sur la publication se conjuguent.
C’est le côté caché de mon métier qui m’a presque occupé une centaine d’heures au cours de l’année 2010.

Pour la photo de cette élève de la p14 prise en 2009 dans l’enceinte du Château de Versailles, il m’a ainsi fallu obtenir un blanc-seing qui comportait les heures auxquelles je pouvais photographier et la description du véhicule que j’allais utiliser pour rentrer dans le parc. Ce qui n’a pas été facile quand j’ai dû décaler mes visites pour des soucis de météorologie. Tout ça pour seulement une photo éditée dans l’ouvrage paru en septembre 2010. :-(

dimanche 13 février 2011

Epié [De l’image et de son message]

Je réponds avec retard* à un commentaire posté sur un billet édité le 16 janvier dernier.
Ce commentaire était le suivant : « Je trouve regrettable que le directeur se serve de votre blog pour punir les élèves. Que certaines photos ou commentaires le fassent "grincer" je peux comprendre, mais vous parlez de liberté de parole, je trouve que là il ne la respecte pas ! Du coup, je pense que certains élèves n'osent plus être aussi libres qu'auparavant dans leur "mouvements" car tout semble être "épié" et cela favorise à mon sens les incompréhensions ou erreurs de comportement. Ce blog doit respecter également la liberté des élèves et rester un oeil indépendant sur leur travail. Ce qui n'a pas été le cas ces temps-çi. »
Il y a plusieurs notions abordées dans cette remarque, aussi je scinderai ma réponse en quatre paragraphes et autant de photos.

1-. A propos de « (que) le directeur se serve de votre blog pour punir les élèves ».
Le directeur de l’école n’a jamais eu besoin du blog pour savoir ce qui se passe en dehors de l’école ! L’école est connue et les élèves, de par leur tenue –militaire ou bleue– sont facilement identifiables. Dans le cas de la photo ci-dessous, ce n’est pas ma photo qui a entraîné une réprimande à l’élève (car le directeur n’a jamais vu cette photo) mais un agriculteur sur les terres duquel cette élève chevauchait. :-(
Il est en effet, dans le cadre des patrouilles strictement interdit de galoper. C’est un impératif de sécurité. En cas de chute, l’élève peut être grièvement blessée. Le cheval aussi. Sans oublier que si le cheval perd son cavalier à moins de 3 ou 4 kilomètres de l’école, c’est potentiellement le retour assuré de l’équidé vers son box, par instinct, sans que quiconque ne puisse le retenir. Et un cheval au galop sur plusieurs kilomètres, c’est potentiellement un grand nombre d’incidents (ou accidents) possibles, choses qui relèvent de la responsabilité de l’école. Ce sont ces raisons qui dictent cette interdiction de galoper. Un bon cavalier doit savoir maîtriser sa monture en toutes circonstances !




2-. A propos de « je pense que certains élèves n'osent plus être aussi libres qu'auparavant dans leur "mouvements" car tout semble être "épié" ».
En intégrant cette école, les élèves savent qu’ils suivent une formation professionnelle (ce dernier mot me semble capital) destinée à leur inculquer les données nécessaires à pouvoir exercer demain dans la profession de garde équestre. Ils signent le premier jour un règlement intérieur dans lequel sont stipulés leurs droits et devoirs.
Différentes interdictions leur sont notifiées. Telle que l’interdiction de manger en salle de classe, de fumer dans le pailler, dans les écuries ou dans les cours, de téléphoner ou textoter durant les cours ou à cheval. Les élèves sont "libres" d’obéir mais aussi "libres" de désobéir. Dans ce dernier cas, ils acceptent implicitement, en désobéissant, d’en recevoir les sanctions afférentes.
Ma présence avec un appareil photo ne change pas grand-chose. Je dirai même : cela ne change strictement rien. Je le constate avec la p18 comme je l’ai constaté il y a deux ans avec la p14. Des élèves téléphonent à cheval, mangent en salle de classe, s’échangent des SMS en cours … Que je sois là ne change rien : je ne pense pas qu’il y ait un seul élève qui se sente épié !
Témoin la photo ci-dessous prise durant un cours de sport. Il est interdit de fumer durant le cours de sport, sauf durant une éventuelle pause. A l’instant de cette photo, les élèves ne sont pas en pause. Pourtant l’élève de gauche fume. Si l’on s’attache uniquement à la photo, cette élève est fautive. Pourtant elle ne l’est pas. Enfin pas complètement.
En effet, elle ne participe pas au cours de sport (quoique habillée en tenue de sport) mais elle a été punie et elle est de curage de boxes. Elle s’est octroyée elle-même une pause, pause durant laquelle elle peut fumer. C’est durant sa pause de curage qu’elle est venue discuter au cours de sport. La responsable du sport lui a demandé de ne pas fumer. L’élève n’a pas obtempéré parce que n’étant pas en sport. J’ai continué mes photos des élèves qui sautaient, elle a continué à fumer. Je ne me suis pas caché pour photographier, elle non plus pour fumer.




Comme j’ai expliqué dans le premier point, le directeur n’a pas non plus eu besoin de la photo ci-dessus pour être informé de la situation : il lui a suffit d’entendre les élèves discuter sous le préau. En début d’année, le directeur annonce aux élèves : « Attention, je vois tout, j’entends tout ! ». Force m’est de constater que cette phrase n’est pas loin de la vérité et que mes photos ne changent strictement rien à la connaissance du comportement des élèves.
D’ailleurs, le directeur, ayant au cours de sa carrière travaillé au sein du SIRPA, le Service d’Information et de Relations Publiques des Armées, se méfie comme de la peste des photos et des photographes. Et il a un peu raison. On fait dire ce que l’on veut à une image, témoin la photo ci-après :




Si l’on regarde cette image, les trois élèves en patrouille urbaine traversent au feu rouge. Une amende à 4,00€ d’après la législation en vigueur sur le Code de la Route. Ce qui est du plus mauvais goût pour des élèves gardes !
Il n’y a pourtant aucune faute de la part des élèves. L’automobiliste est bien arrêté au feu rouge. Les élèves ont entamé la traversée au feu vert, feu vert qui est devenu rouge au milieu de leur traversée. Sanctionner ou réprimander sur ce cliché serait donc erroné.

3-. A propos de « Ce blog doit respecter également la liberté des élèves ».
Mais il la respecte ! En début d’année, j’ai demandé aux élèves ce qu’ils ne voulaient pas que je photographie les concernant. J’ai obtenu deux ou trois réponses, du genre « Je ne souhaite pas être photographiée quand je fume parce que ma famille ne sait pas que je fume et je ne veux pas que cela se sache ». J’ai entendu cette demande, je la prends en compte dans mon travail et je m’attache à scrupuleusement la respecter.
Je ne pense pas un seul instant que mes photos volent la moindre parcelle de liberté aux élèves, je ne pense pas un seul instant que ce blog volent une quelconque parcelle de liberté aux élèves. Je les laisse libres d’agir, sauf quand manifestement ils vont commettre une erreur qui puisse leur être trop néfaste, auquel cas je me manifeste tel un camarade, un ami, un grand frère en disant « Attention à ceci ou à cela ! ».

4-. A propos de « vous parlez de liberté de parole, je trouve que là il (le directeur) ne la respecte pas ».
Comme je l’ai indiqué hier dans mon billet dénommé "Etats d’âme", ce blog relève de mon initiative, de ma responsabilité. Personne ne s’est jamais permis d’interférer dans mon choix de photo, dans le contenu de mes écrits. Personne et surtout pas le directeur qui m’a laissé totalement libre du choix de mes sujets.
Pour être honnête et précis, je n’ai eu que trois remarques en 249 billets. La première en septembre, émanant d’une élève qui m’a demandé de remplacer une photo sur laquelle elle se jugeait à son désavantage. J’avais indiqué en début d’année aux élèves de m’indiquer si une photo leur déplaisait et que s’ils argumentaient, je tiendrai compte de leur remarque. J’ai donc changé la photo relative à cette élève.
La seconde remarque, toujours en septembre, émanait de la directrice de l’école. Elle m’a demandé d’ôter une photo qui comportait un détail. J’ai jugé l’argumentation recevable. Je n’ai pas ôté la photo mais … le détail dans la photo. :-)
Enfin, la troisième remarque émanait du directeur et elle était relative à un billet en décembre dans lequel j’avais peut-être un peu trop réagi avec véhémence. J’ai retenu les arguments avancés et j’ai supprimé le billet qui avait cependant eu le temps d’être lu par quelques élèves. En discutant avec ces élèves, ils ont eux aussi retenu les éléments avancés par leur directeur.
En résumé, sur 249 billets, j’ai donc eu trois –et uniquement trois– demandes correctives. Demandes argumentées pour lesquelles je n’ai subi aucune pression. Je reconnais que c’est exceptionnellement peu car si je prends le groupe de presse pour lequel j’ai travaillé de 2004 à 2008 et pour lequel j’ai dû écrire environ 250 reportages, je pense que j’ai dû avoir près de 50 demandes correctives (pour des intérêts financiers, politiques, commerciaux, etc.).
En conclusion, ma liberté de parole est donc totale.

Et puisqu’il est dans ce billet question d’image, d’information dans l’image et d’image pouvant entraîner une sanction, voici une photo où ce ne sont pas les élèves qui sont responsables de quelque chose, mais bien ce conducteur de tracteur qui est venu durant plus de 80 mètres terroriser les chevaux en collant son engin à 5 mètres à peine des postérieurs des chevaux, les plaçant dans un état d’excitation important, à tel point que j’ai vu le moment où il allait, avec son tracteur, pousser les chevaux qui n’avançaient pas assez vite à son goût !



* Nota : J’ai pris beaucoup de temps pour répondre à cette remarque car je souhaitais prendre plusieurs photos pour illustrer ma réponse. L’écriture est un exercice qui peut prendre de longues heures, pour quelques dérisoires secondes de lecture. Et avec plus de 12.000 photos de la p18, en rechercher une particulièrement exige parfois beaucoup de temps.

Ton sur ton

De l’art du camouflage durant le dernier cours de topographie