Depuis hier matin, les six élèves de garde, quoique ayant participé à la marche de jeudi, sont au travail alors que leurs camarades se reposent. Pas toujours facile d’aller nourrir, panser ou sortir les chevaux, pailler les boxes et balayer les cours quand on a les jambes empreintes des douleurs accumulées la veille !
L'Ecole de Gardes à Cheval de Soissons-Cuffies (Aisne) forme en sept mois à l'utilisation du cheval dans la police, l'environnement et la surveillance. A raison d'une photo par jour et de quelques mots, ce blog retrace ma vie avec la promotion 18 (09/2010-03/2011) à l'occasion de la réalisation d'un ouvrage sur cette formation.
Patrouille rurale

samedi 11 septembre 2010
Week-end ? Eh non !
« Etre de garde » à l’école de gardes à cheval, c’est synonyme d’être sur le pont, même le week-end. C’est le propre de l’école que de réellement former les élèves à ce qui les attendra quand ils intégreront la vie active : que l’on soit gendarme, policier ou garde forestier, on travaille aussi le week-end.
Depuis hier matin, les six élèves de garde, quoique ayant participé à la marche de jeudi, sont au travail alors que leurs camarades se reposent. Pas toujours facile d’aller nourrir, panser ou sortir les chevaux, pailler les boxes et balayer les cours quand on a les jambes empreintes des douleurs accumulées la veille !
Depuis hier matin, les six élèves de garde, quoique ayant participé à la marche de jeudi, sont au travail alors que leurs camarades se reposent. Pas toujours facile d’aller nourrir, panser ou sortir les chevaux, pailler les boxes et balayer les cours quand on a les jambes empreintes des douleurs accumulées la veille !
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