La dix-huitième promotion présentait une particularité : c’est son jeune âge. La plus jeune des élèves n’a d’ailleurs fêté ses 18 ans qu’il y a six jours. Ce qui se traduit sur le papier par une méconnaissance globale de la vie. Et de la vie professionnelle en particulier, seule 3 ou 4 élèves ayant travaillé avant d’arriver à l’école.
Quoique tous ces élèves aient délibérement choisi d’entrer dans cette formation professionnelle et que l’école tente d’inculquer les valeurs essentielles d’un travail dans une fonction régalienne de l’état (respectabilité, impartialité, solidarité, conscience professionnelle), au final le résultat est visiblement difficile à atteindre. Les jalousies, les individualités, l’égoïsme ont prévalu bien plus que nécessaire. Est-ce dû au jeune âge de la promotion ou au fait que les valeurs traditionnelles soient de moins en moins inculquées au sein de l’école ? Je ne saurai encore me prononcer. Mais j’ai quand même noté que les élèves les plus âgées de la promotion n’ont parfois vraiment pas du tout montré l’exemple à leurs cadettes ! Je dirai même que la maturité n’a pas attendu le nombre des années et que les deux plus matures étaient parmi les plus jeunes ! Mais quand même, voire des jeunes femmes faire des gamineries la veille de rentrer en police, ça m’interpelle un peu. Là où le métier impose de la réflexion, du recul, de la pondération, au terme des sept mois de formation, certains élèves en manquent toujours énormément !
Elève tout autant qu’observateur, j’ai comme les élèves adoré certains cours et moins apprécié d’autres. Je termine cependant avec un immense regret : c’est que les cours que j’ai jugés les plus passionnants, ceux du directeur, sont les moins nombreux. Pire même pour les cours d’alimentation équine, que tous les élèves attendaient avec avidité, et qui ont été réduits à une seule unité !
Je suis comme les élèves : je me serai bien passé des trois dernières heures de patrouille de lundi dernier pour m’asseoir trois heures en salle de classe écouter le directeur nous parler d’alimentation équine. Je quitte donc la formation avec une lacune : je ne sais toujours pas comment on nourrit un cheval. Mais j’en ressors avec un grand souvenir : j’ai eu plaisir à écouter certains cours et le seul fait de les écouter m’a permis de les retenir tellement l’orateur était passionnant.
J’ai déjà demandé à plusieurs élèves quel était le meilleur souvenir qu’ils avaient de cette formation. Les réponses sont quasiment toujours les mêmes : les marches et notamment la première marche, celle de 30 km qu’ils accomplissent quatre jours à peine après être rentrés à l’école. Des marches qui sont destinées à forger la cohésion et la solidarité. Viennent ensuite dans les moments les plus appréciés, la formation au premier degré de tonfa, le tir et les cours du directeur.
Toi non plus tu n'es pas bien mature pour écrire des choses pareil c honteux!!!Tu me dégoute tu nous a + cassé durant la formation que aidé!enfin j'oublie bien sur tu as su aider convenablement tes chouchoutes ou amoureuse
RépondreSupprimerDe quel droit vous permettez vous de juger certains élèves alors que vous même avez dit être tomber amoureux des yeux révolvers,vous appelez ça être mature??? vos articles et photos ne sont consacrés qu'a un seul groupe d'élèves. Je pense que même les élèves suivis pendant leur stage seront ceux la.
RépondreSupprimerVous avez même a un moment critiquer notre façon d'élever nos enfants. Vos articles sont parfois très blessant et méchant, sauf peut être pour votre petit groupe de préféré. Deux fois vous avez dit " je pars" et je pense vraiment que cela aurait été correct de respecter vos décisions , ça aurait au moins pu éviter certains soucis entre les élèves. Vous jugez et ça je ne le comprends pas vous qui dites rester neutre.
Thierry a aidé chaque élève. Certains l'ont rejeté et l'ont dénigré.
RépondreSupprimerOui Thierry a des affinités avec certaines personnes. J'en ai quelques unes d'ailleurs avec lui. Et l'on ne me voit pas pour autant tout le temps en photographie.
Ensuite, pour ce qui est des stages, à savoir que ce sont des demandes de photographies de la part de certains magasines. Et il y aura des photos de personnes qui l'apprécie plus ou moins.
Si Thierry n'est pas parti c'est grâce à certaines personnes qui l'ont convaincu de rester, car ces personnes là tiennent à lui.
Dernier point, vous parlez de maturité, parent d'un ou d'une élève, ayez au moins le courage de marquer votre nom.
Je m'appele Morgane Funeleau.
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RépondreSupprimerJe n'ai cure de vos dénigrements. Il faut même en rire.
RépondreSupprimerSur ce
Bonjour, je voulais juste signaler que les élèves de la Promotion 18
RépondreSupprimerpaye l'école pour apprendre le métier de police à cheval et ne paye pas Monsieur BIRRER, donc il est libre de prendre ses photos! Je vous rappelle qu'il fait ça bénévolement!
LA JALOUSIE EST UN GROS DEFAUT !
Et l'amour est loin d'être un manque de maturité contrairement à vos reflexions et jalousie!!
AAAAH OUI,UNE LETTRE SE SIGNE!!! SOYEZ HONNETE !!
Monsieur CHAIZE.