J’avais le choix entre suivre des élèves en centre-ville commercial ou dans un quartier uniquement composé d’habitat social sous forme d’immeubles. J’ai choisi ce dernier en pensant qu’il y aurait quelque chose à voir, un peu d’animation et surtout, peut-être par déformation médiatique, avec quelque animation de nature à permettre aux élèves de rédiger un rapport dense.
Eh bien, je suis resté sur mes attentes ! J’ai marché, j’ai marché et j’en encore marché. Au lent pas des patrouilles pédestres, celui où quand on est fatigué, … on s’endort presque. J’ai marché et ce fut tout. Que ce soit les élèves ou moi-même, nous n’avons rien vu. Hormis une voiture sans vignette d’assurance, un banc public cassé, une maison à l’abandon, deux globes de lampadaires vandalisés et jetés dans la cour de la chaufferie de quartier, et quelques papiers gras ou une flasque de rhum jetée dans un parc public, rien ! Bien maigre comme rapport après deux heures et trente minutes de marche … à pas lent.
Ma conclusion est simple : patrouiller à pied, il faut vraiment avoir envie !
Heureusement, j’avais mes appareils photo pour m’éviter de trop m’endormir.
Et pour suivre les images équestres d’hier, j’ai traqué les fleurs :-)
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