Aujourd’hui, j’ai entamé à 07h00 mon 17ème jour de garde. Et aussi ma 238ème heure consacrée à l’école depuis le 6 septembre à 09h00. Autrement dit en trois semaines exactement, j’ai consacré à ce sujet autant de temps que lors des deux premiers mois à l’occasion de mon premier ouvrage ! Dommage que je ne sois d’ailleurs pas payé à l’heure de travail …
En partant ce matin, j’ai aussi vu que j’avais déjà appuyé 2153 fois sur le déclencheur d’un de mes appareils photos depuis le 6 septembre. Même si je jette un tiers des photos pour cause de défaut de cadrage, erreur de mise au point, faute de profondeur de champ, photo en double, sujet flou, clignement d’yeux ou grimace du sujet, mauvaise lumière ou taches de capteur, il en reste encore 1400. Revers de la médaille : sur ce nombre, je n’ai franchement pas perdu mon temps et je suis plus que satisfait du résultat. Si j’avais un doute sur le fait que je puisse rester créatif et performant en reprenant un travail déjà effectué il y a deux ans, je suis rassuré :-)
Quant à mes notes de travail, ce sont 148.800 caractères (espaces compris) répartis sur 50 pages A4. Soit 2382 lignes. Ça ne comprend évidemment pas les notes de cours.
A croire que j’aime les chiffres … Ce matin, je me suis amusé (?) à comparer les chemins parcourus par les élèves lors des travaux aux écuries. Enfin, le chemin parcouru par le chariot à paille. Soit 960 mètres pour les écuries du haut (pour pailler 12 chevaux) et 850 mètres pour les écuries du bas (pour 21 chevaux).
Quant à une ratisse, elle parcourt chaque matin 345 mètres en haut et 980 mètres en bas. En général, devant un chariot ou une ratisse, il y a un élève. Après ça, ne pas dire que s’occuper des chevaux "c’est sport" serait mentir !
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