« Etre de garde » à l’école de gardes à cheval, c’est synonyme d’être sur le pont, même le week-end. C’est le propre de l’école que de réellement former les élèves à ce qui les attendra quand ils intégreront la vie active : que l’on soit gendarme, policier ou garde forestier, on travaille aussi le week-end.
Depuis hier matin, les six élèves de garde, quoique ayant participé à la marche de jeudi, sont au travail alors que leurs camarades se reposent. Pas toujours facile d’aller nourrir, panser ou sortir les chevaux, pailler les boxes et balayer les cours quand on a les jambes empreintes des douleurs accumulées la veille !
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